jeudi 15 novembre 2012

LE JEÛNE DE YAUMÉ A’ACHOORAH



DEFINITION 

Littéralement Yawmé A’achourah signifie 10ème jour.  En terminologie islamique il signifie 10ème jour du premier mois du calendrier islamique – c’est-à-dire Mouharram.

L’OBSERVATION DU JEÛNE LE 10ÈME JOUR DE MOUHARRAM PAR LES PROPHÈTES (A.S.)

Le Prophète (s.a.w)  a dit : Les Prophètes jeûnaient le jour de A’achoorah.  Jeûnez vous aussi. (Ibn Abi Shaiba)


LE JEÛNE DE A’AACHOORAH AVANT HIJRAH (L’ÉMIGRATION)

A L’Epoque du “Jaahilyya” (de l’ignorance) même Les Qouraishites observaient le jeûne de A’achoorah.  Le Saint Prophète (s.a.w) lui aussi, jeûneait ce jour là.

Hazrat Aa’sha (r.a) dit :

Les Qouraishites observaient le jeûne de A’achourah à l’époque du “Jaahiliyya” (avant la prédication de l’Islam) et le Messager d’Allah (s.a.w) également faisait ce jeûne. (Boukhari).

LE JEÛNE DE A’ACHOORAH APRÈS LE HIJRAH


Après l’imigration du Prophète (s.a.w) à Madinah, il remarqua que les juifs aussi observaient le jeûne de A’achoorah.  Le 10ème jour de Mouharram était un jour béni et sacré pour eux car c’était ce jour là que le Prophète Mouusa (a.s) remporta la victoire sur Pharaon et que les Banî Israaïl furent libérés de leurs ennemis.  Ils observaient donc ce jeûne selon la tradition héritée du Prophète Moussa (a.s) qui jeûnait ce jour là en signe de reconnaissance pour sa victoire sur Pharaon et le peuple de Pharaon.  Quand le Prophète (s.a.w) apprit ceci, il dit :

“Nous sommes plus proches de Hazrat Moussa (a.s)  que les juifs le sont”.

Il ordonna donc aux Sahaabas de jeûner ce jour là. 

Hazrat Abdoullah Ibn Abbaas (r.a)  dit :

Le Prophète (s.a.w) vint à Madinah et vit que les juifs jeûnaient le jour de A’achourah. “Qu’est-ce que ceci ?” dit-il. “C’est un jour béni, on lui répondit, le jour oú Allh a délivré les Banî Iraaîl de leurs ennemis et, Moussa (a.s) a jeûné ce jour là.”  “Moi, dit-il, j’ai plus de devoirs envers Moussa que vous.” Et il jeûna et ordonna (aux autres) de jeûner. (Boukhari).

En d’autres mots, le Prophète (s.a.w) voulait dire qu‘il était plus proche de Moussa (a.s) que les juifs et qu’il était davantage son devoir de suivre sa pratique.

 

LA POSITION LÉGALE DU JEÛNE DE A’ACHOORAH


Hazrat Aa’ishah (r.a) dit :

Le Prophète (s.a.w) avait tout d’abord ordonné de jeûner le jour de A’achoorah.  Puis quand le( jeûne du) Ramadhaan fut prescrit (devint obligatoire), celui qui voulait, jeûnait et celui qui ne voulait pas, ne jeûnait pas Boukhari).

Dans un autre hadîce qui se trouve dans Abou Daawood, un Sahaabi (r.a)  dit que le Prophète (s.a.w) l’envoya vers les autres Sahaabas (r.a)  le matin d’un 10ème Mouharram avec l’instruction suivante :

Dis à ceux qui n’ont pas encore mangé de jeûner aujourd’hui et à ceux qui ont déjà mangé de s’en abstenir pour le reste de la journée et de remplacer un jeûne. ( Abou Daawood).

C’est à la lumière de ces deux ahaadîce que les savants ont conclu, qu’au début, le jeûne de A’achoorah était waajib, mais quand le jeûne du Ramadhan fut prescrit (devint faraz) celui de A’achoorah n’était plus waajib mais devient moustahab.  Celui qui l’observe sera récompensé et celui qui ne l’observe pas n’aura pas commis de péché.


COMBIEN DE JOURS FAUT-IL JEÛNER ?

Le Prophète (s.a.w) a toujours voulu faire une distinction entre les pratiques de sa communauté et celles des autres.  Ainsi, il ordonna à son peuple de se laisser pousser la barbe et de se couper la moustache, et ceci, parce que les autres communautés se rasaient la barbe et avaient de grosses moustaches.  Pour ce qui est du jeûne de A’achoorah. Le Prophète (s.a.w) appliqua le même principe.  Il dit dans un hadîce :

Si je vis jusqu’à l’année prochaine je jeûnerai le 9ème (jour de) Mouharram. (Mouslim).

Dans un autre hadîce, rapporté par Hazrat Abdoullah Ibn Abbaas (r.a)  , le Prophète (s.a.w) fait voir son intention clairement en disant :

Jeûnez un jour avant ou un jour après (le 10ème Mouharram) et n’imitez pas les juifs. (Tahaawi.)

C’est pour cette raison que Hazrat Abdoullah Ibn Abbaas (r.a)  proclama un fatwa comme suit :

Jeûnez le 9ème et le 10ème (jour de Mouharram).(Tirmizi).

Un autre fatwa de Abdoullah Ibn Abbaas (r.a)  est comme suit :

Jeûnez le jour de A’achoorah, mais faites le contraire de ce que font les juifs ; jeûnez aussi un jour avant et un jour après.  (Ahmad).

C’est à partir de tout cela que les savants disent que jeûner le 10ème jour de Mouharram est makrouh. Il est recommandé de jeûner le jour de A’achoorah et un jour avant ou un jour après.(Faatawa Qaazi Khan).


Il est donc moustahab d’obsever les jeûnes du mois de Mouharram en une de ces trois façons :

1.         9ème et 10ème jours de Mouharram ou
2.         10ème et 11ème jours de Mouharram ou
3.          9ème, 10ème et 11ème jours de Mouharram.

RÉCOMPENSES

 Hazrat Abdoullah Ibn Abbaas (r.a)  dit :

Je n’ai pas vu le Prophète (s.a.w) de préférence pour jeûner à un moment plutôt qu’à un autre, sauf pour ce jour-çi, c’est-à-dire le jour de A’achoorah, et pour ce mois çi, c’est-à-dire le mois de Ramadhaan. (Boukhari).

Dans un autre Hadîce, le Prophète (s.a.w) dit :

J’ai l’espoir que de par le jeûne de A’achoorah Allah pardonnera les péchés d’une année écoulée.(Mouslim).

Le Prophète (s.a.w) a aussi dit :

Jeûnez pendant le mois de Mouharram car c’est le mois d’Allah.  Il y a un jour de ce mois oú Il a gracié un peuple et Il accordera sa grâce à un autre peuple ce même jour. (Tirmizi)

Le Prophète (s.a.w) a aussi dit :

Jeûnez pendant le mois de Mouharram car c’est le mois d’Allah.  Il y a un jour de ce mois où il a gracié un peuple et Il accordera sa grâce à un autre peuple ce même jour.(Tirmizi)

Comme mentionné dans Boukhari, Mouslim et les autres livres de hadîce, c’était le peuple de Moussa (a.s)  qui avait été gracié le jour de A’achoorah. L’autre peuple qui sera gracié selon certains savants, concerne ceux qui auront jeûné le jour de A’achoorah.

lundi 5 novembre 2012

Quand Eid tombe ene jour jum'ah, eski bizin faire jum'ah ça jour-là ou bien pas bizin faire jum'ah ça jour-là?



Autant ki nou conné, nou pas conne kikene ki dire ki pas gagne droit faire jum'ah ça jour-là. Li vrai ki ena ene ti groupuscule ki dire ki capave pas faire jum'ah ça jour-là. Mais selon la grande majorité, li pas permette pou néglige ou abandonne jum'ah parceki l'obligation de   jum'ah li prouvé par banne preuves authentiques et catégorique depi dans Qour'aan et dans Hadice. Ene pratique ki prouvé par banne preuve de ene tel calibre, pas capave néglige li lors la base banne simple hadice ambigu.

Ena banne hadice ki donne l'impression ki ça ti permette et ki Rassouloullah (s.a.w) fine    autorise pas faire li. Mais à la lumière banne hadice pli détaillé, ça ti adressé à ene certaine catégorie dimoune. Li pas ti adressé à tous banne dimoune. D'ailleurs d'après hadice, Nabi (s.a.w) ti faire namaz jum'ah jour jum'ah avec banne habitants de Madina. D'après ene hadice ki trouve dans Abou Dawoud et Ibn Maajah, Rassouloullah (s.a.w) ti dire:

"Zordi deux Eid fine tombe ensemble. Si kikene oulé ça (namaz Eid) la, li capave dispense li de namaz jum'ah. Mais nou, de toute façon nou pou faire Jum'ah. "

Quand Nabi (s.a.w) fine dire "Nous" ça signifié Nabi (s.a.w) et banne habitant de Madina. Donc ça prouvé ki Nabi (s.a.w) et banne habitants dans Madina ti faire namaz Jum'ah. Ça montré ki l'autorisation pou pas faire Jum'ah ti adressé à ene l'autre catégorie de personne. C'était banne dimoune ki ti pé habite en dehors Madinah et ki ti pé vine faire namaz Eid et namaz Jum'ah malgré ki ça pas ti obligatoire lors zotte. Quand Eid fine tombe dans jour     Jum'ah, zotte fine bizin vine bonheur gramatin pou capave faire namaz Eid. Après namaz Eid, zotte ti ena deux choix. Soit zotte reste attane ziska namaz Jum'ah ou bien zotte alle    zotte la caze et retourne Madinah pli tard pou namaz Jum'ah. Dans tous les deux façons, zotte ti ena ene certaine difficulté. Alors pou facilite zotte tache, Nabi (s.a.w) ti lance ça l'appel-là ki celui ki oulé attane, li capave attane mais celui ki oulé retourné, li capave alle so la caze. C'est ça catégorie de personne-là ki ti concerné par ça annonce-là. D'ailleurs namaz Jum'ah même pas ti obligatoire lors zotte acoze ki zotte ti pé habite dans la campagne retiré en       dehors Madinah. A Maurice, nou perna ça catégorie de personne-là.                                  
Donc bizin faire Jum'ah, même si Eid aussi tombe dans jour Jum'ah.                           

vendredi 2 novembre 2012

Est-ce possible d’être un bon musulman sans approuver de l’amitié, de l’amour pour le Saint Prophète (s.a.w) et sa famille?

Il serait vraiment étonnant de voir quelqu’un qui se prend pour un bon musulman mais qui par contre ne ressent rien pour le Prophète (s.a.w), car sans cet amour il y a ni la foi (Imaan) et ni l’Islam.  L’amour pour le prophète (s.a.w) est une caractéristique d’un vrai croyant.

  Le Prophète (s.a.w) a dit :Aucun de vous ne sera un « moumine » (parfait croyant) aussi longtemps qu’il n’ait pour moi plus d’affection qu’il n’en a pour son père, ses enfants et pourtout le reste du genre humain.                                                                                                   (Boukhari)
         
Quand on aime quelqu’un il est normal qu’on lui obéisse et qu’on se soumette à sa volonté.  De même quand on aime le prophète (s.a.w) on doit nécessairement lui obéir et suivre ses principes.

L’amour à l’égard de la famille du Prophète (s.a.w) est ègalement une qualité importante d’un croyant.  Il est après tout naturel pour celui qui aime le Prophète (s.a.w) d’aimer aussi sa famille.  Hazrat Abou Bakr Siddiq (r.a) a dit :

Par Celui qui tient ma vie entre Ses mains, (je jure que), la famille du Prophète (s.a.w) m’est plus chère que ma propre famille.                                                        (Boukhari)

A une autre occasion, il (r.a) a dit :
Prenez en considération Mouhammad (s.a.w) en ce qui concerne sa famille.      (Boukhari).
     

Abou Bakr (r.a)  a voulu faire comprendre qu ‘il faut avoir d’égard pour la famille du Prophète (s.a.w) afin de ne pas se faire reprocher par celui-ci.

Toutefois l’amour pour le Prophète (s.a.w) et sa famille doit être exprimé ou manifesté d’une façon correcte et conformément aux principes de l’Islaam.  L’action de manifester son amour pour le Prophète (s.a.w) ou pour sa famille en conformité aux principes de l’Islaam est un grand i’baadat qui mérite beaucoup de récompenses.  Par contre si on exprime son amour en enfreignant les principes, cette action est considérée comme un péché et mérite des punitions, car elle équivaut à désobéir à Allah  et négliger les sounnats de Mouhammad (s.a.w).  Donc il ne faut, à aucun moment, dépasser les limites prescrites et commettre des excès.  Des fois on dépasse tellement les limites qu’on commet le shirk et le koufr. Dans le but de montrer que l’amour aussi a ses limites.

Hazrat A’li (r.a)  dit : Il ya deux catégories de personnes qui seront dans la perdition.  L’une est celle qui m’aime en excès et qui me flatte pour une qualité que je ne possède pas, et l’autre est celle dont la haine éprouvée à mon égard le pousse à me blâmer. 
                                                                                (Mousnad Ahmad)

Is there any specific du'aa mentioned on the first night of marriage ? If yes, then what is the procedure?


When the newly wed couple come into their bedroom, firstly salam should be made and the following dua should be read:


اللَّهُمَّ إِنِّي أَسْأَلُكَ خَيْرَهَا ، وَخَيْرَ مَا جَبَلْتَهَا عَلَيْهِ ، وَأَعُوذُ بِكَ مِنْ شَرِّهَا ، وَشَرِّ مَا جَبَلْتَهَا عَلَيْهِ

'Allahumma in'ni as'a'luka min khai'riha wakhai'ri ma fiha wakhairi ma jabalta'ha alai wa a'udhu bika min shar'riha washar'ri ma fiha wa sharri ma jabalta'ha alai'

Transaltion: 'O Allah I ask you for the good in her and the good with which you have created her, and I seek refuge in you from the evil in her and the evil with which you have created her'

 (Bukhari, Abu Dawud, Ibn Maja, Al Hakim, Al Baihaqi and Abu Ya'la)

Then after making wudhu, two rakaats of Salatul' Hajat must be performed, and dua be made for a good and happy life that Allah bestow them (the couple) with good and pious children.

Then they should engage themselves in some religious talk showing importance to the obedience of Allah's commands and , through wisdom and tact, become more free and open in the discussion, trying to discover each other's temperament. As sexual inclinations vary with every individual, the bride and the bridegroom will have to display patience with each other. Sexual union on the first night of marriage is not the most important thing between the couple. Their first intimate association gives them an opportunity to know each other more closely, to assess each other's feelings and attitudes. With some brides excitement, expectations or fear of intimate union brings about a reluctance in performing sexual union.

The bridegroom should regard this moment as an opportunity to show his consideration for her tender feelings, to demonstrate that sex is a secondary aspect of marriage and that her health and feelings men more to him.

Sometimes, out of bashfulness or consideration for the brides feelings, the groom may also show reluctance to be sexually intimate. Then it is the bride's turn to display her appreciation and tolerance towards him.

……………………………………………………………………………

Dua before sexual intercourse

بِاسْمِ اللهِ ، اللهُمَّ جَنِّبْنَا الشَّيْطَانَ ، وَجَنِّبِ الشَّيْطَانَ مَا رَزَقْتَنَا

Translation

In the Name of Allah. O Allah, keep the shaytaan away from us and keep the shaytaan away from what You have blessed us with.

Note:

*The messenger of Allah said: whoever says this -du'a- and the wife was pregnant from that night, shaytan will never be able to harm the child. ( Bukhari )

jeudi 1 novembre 2012

L’islaam a brisé les chaînes du polythéisme (Shirk) et de l’infidélité (Koufr)



L’islaam a brisé les chaînes du polythéisme (Shirk) et de l’infidélité (Koufr).  Il a enseigné à l’homme à ne se proterner que devant Allah, l’Unique, Celui qui n’a pas d’associé.  Il est malheureux de constater, cependant, que de nos jours, nombre de ses adhérants, de par leurs actions, sont plongés dans le “Shirk” et dans le “Koufr”.  Et ce, en dépit du fait qu’ils prononcent chaque jour le kalimah “La ilaaha illallahou Mouhammadour Raçouloullah” et le verset du Qou’aan, “Iyyaka na’boudou wa iyyaaka nastaïne” (c’est Toi que nous adorons et c’est à Toi que nous demandons de l’aide).  Tout cela n’est que la conséquence de leur ignorance.  Ils ne se sont jamais donné la peine de comprendre ou même d’essayer de comprendre ce qu’ils lisent.  S’il s’étaient interrogés sur la portée et les implications de leurs actes de foi, s’ils avaient fait le moindre effort dans ce sens, ils ne seraient jamais tombés si bas, car ils auraient su ce que signifie « Tauheed » (l’unicité).

           
            Celui qui accepte sincèrement le Kalimah “La ilaaha illallaahou” (Il n’y a pas de Dieu autre qu’Allah) déclare solennellement que personne, sous n’importe quelle forme, ne mérite d’être adoré si ce n’est Allah.  Il est convaincu qu’Allah est bien Celui qui accorde le bonheur et le malheur, la santé et la maladie, la richesse et la pauvreté, l’honneur et le déshonneur, la vie et la mort.  Il est également persuadé que c’est Allah seul qui pourvoit aux besoins de l’homme.

            Tous les Prophètes u ont reçu l’ordre de n’adorer qu’Allah :
           
            “Nous n’avons envoyé aucun Prophète avant toi sans lui révéler : ‘Il n’y a de Dieu que moi alors adorez moi !’” (21 :25)

            Il est triste de constater que certaines personnes croient qu’il y a d’autres qui possèdent des attributs et qualités qu’Allah Soubhaanahoû Wa Ta’aala est seul à posséder.  Tantôt ils se prosternent dans les mosquées, tantôt sur les tombes et tantôt sur les taazias.  Ils lisent ce verset du Qour’aan : « Iyyaaka na’boudou wa iyyaaka nastaï’ne » et pourtant ils ne cessent de demander de l’aide à Hazrat A’li t, Hazrat Housseine t, Hazrat Abdoul Qaadir Jeelani ®.   Allah Soubhaanahou Wa Ta’aala dit dans le Qour‘aan :

            “N’attribuez pas d’associés à Allah, alors que vous savez. ”(2 :21)

Ô, Musulmans, si vous aimez vraiment Raçouloullah r, si vous aimez vraiment Hazrat A’li t, Hazrat Houseïn t et Hazrat AbdoulQaadir Jeelani ® vous devez à tout prix suivre leurs recommandations.  Et sachez qu’ils n’ont jamais permis de demander de l’aide à quiconque si ce n’est à Allah.

Frères et sœurs en Islaam, il n’y a rien de plus précieux que notre foi en Allah Ta’aala (Imaan).  Nous ne devons épargner aucun effort et nous devons faire beaucoup de vigilance si nous voulons la préserver.  Qu’Allah Ta’aala nous guide et nous fasse comprendre, et qu’Il nous protège de l’ignorance.  Aameen.